2008/02/29

Mail Art / Art Postal ( Là-Bas à Ici )







Retrouvez NADA-ZERO dans la galerie virtuelle de Laur@nne

envoi de Christian Alle ( France )



Mail Art / Art Postal ( Là-Bas à Ici )

envoi de Wilma Duguay ( Acadie, Canada )

Les Coques Marines




envoi de Wilma Duguay ( Acadie, Canada )

Mail Art / Art Postal ( Là-Bas à Ici )







Extrait de CIRCULAIRE132
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envoi de Réjean François Côté ( Canada )


Mail Art / Art Postal ( Là-Bas à Ici )

envoi de DMC " Druenne Marie Claude" ( France )

Mail Art / Art Postal ( Là-Bas à Ici )

envoi Eric Bensidon ( France )

2008/02/24

Carnet noir

ESTOCADE • Sarkozy, ce grand malade
Pour le directeur adjoint d’El País, le président français “se vautre dans l’exhibitionnisme” et “rabaisse la République au niveau de Monaco”. Une charge violente contre un Sarkozy atteint d’une “incurable hypertrophie de l’ego”.
AFP
Les Français ont un problème. Ils croyaient avoir un superprésident, un hyper­dirigeant capable de les sortir de la dépression et de la décadence, et voilà qu’ils ont écopé d’un président comme ils en ont déjà connu beaucoup d’autres : à savoir malade, limité, qu’il faut dorloter et protéger tout en s’organisant pour que la France tourne et que le gouvernement et les institutions fassent leur devoir. La situation n’a rien d’inédit : Pompidou et Mitterrand étaient déjà des présidents malades et diminués. Le premier est même mort avant la fin de son mandat. Quant à Chirac, il fut un obstacle paralysant pendant une bonne partie de sa présidence. La maladie dont souffre Sarkozy n’a pas la gravité du cancer de la prostate de Mitterrand, mais elle touche un organe vital s’il en est : l’ego. Celui du président est d’évidence atteint d’une hypertrophie probablement incurable. Plus on s’approche du 9 mars, date du premier tour des élections municipales, plus la nervosité des candidats du parti présidentiel augmente et plus on redoute les interventions de Sarkozy, susceptibles de faire perdre des voix à l’UMP. Le parti du chef de l’Etat est divisé à cause de tensions qu’il a lui-même créées. Le traitement qu’il a infligé en public aux uns et aux autres, y compris à certains de ses collaborateurs les plus proches, est digne du comportement d’un monarque bilieux et capricieux avec ses laquais. Même son actuelle impopularité est extravagante : elle ne s’explique pas par un train de réformes puisque ces dernières sont encore largement inappliquées. Elle s’explique uniquement par son comportement public. Un triomphe de sultan, seigneur en son sérail Le trône qu’occupe Nicolas Sarkozy a été imaginé par de Gaulle pour lui permettre d’être le troisième larron d’un monde bipolaire. Le président français voulait être un fier contrepoids occidental dans l’affrontement entre Washington et Moscou. Or Sarkozy, arrière-petit-fils libéral et proaméricain de De Gaulle (après le petit-fils, Chirac, et le fils, Pompidou), s’est installé sur le trône élyséen porté par son ambition personnelle et sa conception égotique de la présidence : il a par le fait encore accru les pouvoirs de la présidence. Et, une fois parvenu à ses fins, il s’est consacré à lui-même, comme un ado narcissique obnubilé par ses sentiments et ses plaisirs. Certes, le pouvoir peut en apporter beaucoup, mais la prudence conseille de ne pas trop en faire étalage. Sarkozy le téméraire fait tout le contraire et se vautre dans l’exhibitionnisme. C’est sur trois points précis qu’est venu se briser le personnage : l’économie, qui n’a pas enregistré la moindre amélioration depuis son arrivée ; son idéologie plus néocons, voire “théocons”, que gaulliste – en témoignent des prises de position sur la laïcité contraires à la culture de la République ; et sa vie privée, étalée dans les médias. En monarque thaumaturge qui par une simple imposition des mains devait augmenter le pouvoir d’achat, il a échoué au point de prononcer la formule maudite qui rompt les sortilèges : “Qu’est-ce que vous attendez de moi ? Que je vide des caisses qui sont déjà vides ?” En monarque philosophe, il a manifesté les plus fortes réserves vis-à-vis des traditions républicaines, en exprimant avec désinvolture son affinité intellectuelle avec le pape. Il n’a pleinement triomphé que dans le rôle de sultan, seigneur en son sérail, paré des atours qui passionnent un certain public – et manifestement aussi ses pairs. Le voilà fasciné par son propre pouvoir de séduction, son goût exquis et sa désinvolture. Mais ce triomphe-là a le don de déprimer beaucoup de Français car il rabaisse la République au niveau de la principauté de Monaco.
Lluís BassetsEl País

2008/02/16

Mail Art / Art Postal ( Là-Bas à Ici )

envoi d'Eric Bensidon ( France )

Mail Art / Art Postal ( Là-Bas à Ici )


envoi de Giovanni StraDA DA Revenne ( Italie )

Mail Art / Art Postal ( Là-Bas à Ici )

envoi de Geneviève Denniel ( France )

Mail Art / Art Postal ( Là-Bas à Ici )

envoi de Lauranne ( France )

Mail Art / Art Postal ( Là-Bas à Ici )

envoi de Anne Bossenbroek ( The Netherland )

Mail Art / Art Postal ( Là-Bas à Ici )

envoi de Steven Renald ( Canada )

Les coques marines







envoi de Wilma Duguay ( Bonaventure, Canada )

Mail Art / Art Postal ( Là-Bas à Ici )




envoi de Karen Eliot ( U.S.A. )

Mail Art / Art Postal ( Là-Bas à Ici )






envoi de Lother Trott ( Suisse )

Les coques marines


envoi de Carlos Botana ( Galicia, Spain )

2008/02/05

Mail Art / Art Postal ( Là-Bas à Ici )


envoi de Jean Hugues ( France )

Mail Art / Art Postal ( Là-Bas à Ici )

O mar e nai*
Vie
Violence
Sérénité




envoi de Carlos Botana ( Galicia, Spain )
Photos de Carlos Botana
* les pêcheurs de la région de Galice utilisent souvent une phrase pour définir la mer: " La mer est ma mère"